I PLAY IN HASSAN K.

« Hassan K’s Isteghna – the work of French-Iranian based in Lille – is a big, bold helping of what the fuck is going on here?… » - Quietus

« Mais l’ultra-favori pour le titre de concert le plus chelou a tout pour être attribué à Hassan K dont l’album revient à bouffer en même temps de la musique traditionnelle iranienne, un émulateur de Nintendo 64 ou encore du surf garage tout droit sorti des 60’. Tout un monde. » - Gonzaï

« À l’instar des génies Mike Patton et consorts, Hassan K mêle folklore et nouvelles technologies, occident et orient, surf music et bellydance, swing et metal… Improbable ? Impeccable. » - Magic RPM

À propos de l'album Isteghna :

★ Manifesto XXI : « Si j’avais été vendeur à la Fnac, et que l’on m’envoyait le carton avec les disques du nouvel album de Hassan K, je les aurais laissés au carrefour de tous les rayons. On en voit passer des styles de musiques « inclassables », mais rien ne vous prépare à cet album. »

★ Muzzart : « Des contrées salvatrices, dont les reliefs surplombent le tracas et lui substituent une fantaisie, une forme de démence musicale en sacré pied de nez au lissé ennuyeux, au normé sans relief ni idées. »

★ Kiblind : « Hassan K nous embarque dans une cavalcade rocambolesque perse. »

★ A Decouvrir Absolument : « C’est un disque à la folie douce, à la mémoire vive et aux contrastes décapants. »

★ HomeCooking Share » Isteghna est à écouter très fort, non seulement pour en capter les détails mais aussi pour s’assurer d’entrer dans une forme inévitable de transe. »

★ La Face B : « Un voyage spirituel qu’illustre à merveille la musique instrumentale de l’artiste. »

★ General Pop : « On croirait voir le prochain Nick Park. »

★ Litzic : « Ce clip est un petit délice d’imagination et nous transporte dans un univers complètement à part. »

★ Mes enceintes font defaut : « À la recherche d’un album bourré d’énergie et de créativité? C’est pour vous ! »

★ Alternative Radio : « Encore un disque dingue du franco-iranien Hassan K qui perfectionne sa formule musicale à base d’electro, de metal extrême, de surf-music et folklore perse. Génialement fou ! »

★La grosse radio : « L’art de la manipulation atteint tout de même son paroxysme avec « Malakût », (« pièce neo-classique vs. double-pédale ») où des synthés ultra-agressifs se la donnent avec un orchestre à cordes, une composition orageuse et flippante se terminant en happy end sur une référence au « Bolero » – grande classe. »